Peut-être fallait-il que la nuit se fasse sombre pour que se révèle une lumière cachée tout au creux de soi, si fine et si puissante à la fois, qu’elle eut risqué d’aveugler en plein jour. Cette lumière qui n’attend qu’un geste d’abandon pour nous révéler qu’elle nous aime avant que nous ne soyons.
Merci à toute l’équipe des Éditions ARTÈGE
Merci à Loïc Mérian
Merci à Jean Muller